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Les vidéos pays

L'Espagne

Notre passage en Espagne, de Santander à Madrid, avril fin mai 2017. Descendre en Espagne pour le soleil ?


L'Equateur

L’Equateur, un pays très varié. Mai-juin 2017.


Le Pérou - 1ère partie

De l’Amazonas à Huanuco en passant par la Cordillera Blanca, que du bon !


Coco et Lolo au Pérou - 2e partie

Et ça continue au Pérou, de Huanuco jusqu’au lac Titicaca. Petites routes et pistes, chaleureuses rencontres, quelques difficultés… bref, on connaît la recette !


Le quotidien en vidéo des Coco & Lolo

Le petit dej'

Avant de commencer ce récit, voici une séquence video : comme vous êtes plusieurs à apprécier nos vidéos, on va essayer d’en faire quelques unes à propos de notre quotidien. Pour bien commencer, le petit dej’ !


Les descentes !

Eh oui, on ne fait pas que monter, v’la ‘ti pas qu’après avoir longuement gravi les cols, on les descend ! D’ailleurs au Pérou on s’amuse bien plus qu’en Equateur : les pentes sont plus douces mais très sinueuses, il faut piloter ! Elles sont par contre moins propices aux records de vitesse… mais contre toute attente, c’est pourtant sur celles-ci (mais qui n’est pas sur la vidéo) que mon nouveau record s’est établi ! Bon, j’ai freiné trop tôt avant le virage, les 90 km/h ne sont pas atteints, dommage. Je suis heureusement majeur et vacciné, et de toutes façons à l’autre bout du monde, mon vélo ne sera donc pas cadenassé, n’est-ce pas chers parents ;o)


La foire aux sacs poubelles

Lors de notre traversée du Pérou, au nord comme au sud et au centre du pays, nous avons pu constater que la gestion des déchets est un grand problème. Sur les routes, les gens jettent tout par la fenêtre des bus ou des collectivos. Du coup dès que l’on roule sur des routes fréquentées, les bas côtés sont jonchés de bouteilles plastiques et d’emballages.
A part dans les grandes villes, il n’y a pas de collecte des déchets. Chacun se débrouille donc avec ses poubelles… Et les déchetteries sauvages fleurissent un peu partout. Quel dommage pour un si beau pays.
Pas toujours évident pour les voyageurs à vélo que nous sommes de trouver un endroit pour jeter nos petits sacs de déchets. Et comme c’est énervant quand on dort dans un village de devoir en repartir avec ! Alors parfois on en a marre, on craque et on fait comme les locaux, mais je vous rassure on ne l’a fait qu’une fois ! On est un peu écolos quand-même !


Le soir au (parfait) bivouac

N’allez pas croire que nous ayons de supers bivouacs tous les soirs. Mais voilà un exemple de ce que ça peut donner lorsque pas mal de bonnes conditions sont réunies, parmi celles-ci : caché de la route, beau paysage, abri du vent ou de la pluie si nécessaire, bois à disposition pour faire un feu, de l’eau tout près etc.


Les bivouacs de merdes

Régulièrement on fanfaronne en vous montrant des photos ou des vidéos des magnifiques spots de bivouac que l’on trouve. Mais dans un voyage au long cours ce n’est malheureusement pas toujours le cas, loin de là… Généralement quand on campe dans un endroit « tout pourri », on ne pense pas à faire une vidéo, mais là on a fait un effort. Voilà donc une vidéo pas très classe, mais c’est ça aussi notre quotidien de voyageurs à vélo !
Âmes sensibles attention…


Faire le plein

Même si on doit de temps en temps s’arrêter à la station service acheter un peu d’essence pour le réchaud, faire le plein pour nous c’est acheter à manger !
Après 6 mois de petites échoppes on pensait être contents de retrouver des supermarchés biens achalandés avec plein de choses comme à la maison (et des bombes de chantilly). Mais non, tout cet étalage de bouffe et cette frénésie donnent plutôt envie de fuir. Le rayon pâtes à lui tout seul est aussi grand qu’une échoppe péruvienne…
Ha les marchés péruviens, que c’était bien !
Gros choc quand-même dans un supermarché chilien, il fait 30° dehors, on est à l’autre bout du monde, mais dans l’allée centrale, sapins de Noël, jouets et chocolats sont tous là !


J'aime le café

Une des choses qui me manque terriblement en voyage c’est mon petit café du matin, mais pas facile de trimbaler sa cafetière à vélo. Alors comme le café soluble c’est vraiment trop dégueux, je devais me contenter d’un thé…
Heureusement les argentins sont trop forts ! Avec eux pas de petit déj sans café ! OUF !!!


Nos amis les abribus

Patagonie nous voilà ! A nous le vent et la pluie !
Alors si pédaler sous la pluie ce n’est pas très agréable, le pire du pire c’est pique-niquer en se faisant tremper. C’est horrible…
Le vent qui soulève la poussière et qui rend les pique-niques croquants c’est aussi très énervant.
Heureusement on croise régulièrement des petits abribus : un banc pour les fesses, un dossier pour le dos, un toit contre la pluie et un mur pour nous abriter du vent, voilà de quoi remonter le moral des cyclo-voyageurs que nous sommes en cas de météo capricieuse.
Et avec une chouette vue c’est encore mieux !
A vélo, il en faut peu pour être heureux !