du 06/05/2017 au 11/05/2017

Quito, préparatifs et visite.

Le 9 mai 2017 par Coco

Info pays Equateur
Remonter les vélos, itinéraire, visite

Resumen en español

¿Hablas español?

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El sabado 6 de mayo, por fin llegamos en America del Sud, en Quito. Estuvimos muy felices, porque esperabamos eso desdes mucho tiempo.
Descubrimos el casco histórico con sus edificios históricos y sus iglesias, muy bonitos y con muchas colorés.
Tambien, vimos el senor Rafael Correa, el presidente que viene cada lunes para la manana saludar a la gente.
Fuimos tambien en el Quito mas moderne.
Nos gusta mucho caminar en las pequenas calles de ciudad, porque hay mucha vida y animacion.
Pero no nos gusta la circulation y la contaminacion del aire. Preferimos mucho el aire de la campana.
Encontramos muy bonitas personas en Quito.
Marco, el hijo de nuestra amiga Gema, (que vive y trabaja en el turismo en Ecuador y que nos dio muchos consejos) y su esposa Mariangel. Su madre nos habla de del desde mucho tiempo y fuimos felices de verle.
Encontramos tambien Fernando, un hombre que tiene una tienda de bici en Quito(Le encontramos con el sito WarmShower). Es un hombre que le gusta viajar con bici y que conoce muy bien Ecuador. Nos ayudó mucho para escoger el camino para cruzar Ecuador.
Y encontramos tambien Marco, cuando compramos postales. Marco tiene una papelería. Habla un poco frances y le gusta la literatura y nos invitó para hablar y beber cerveca con el y su amigo Serguei, un hombre que viene de Russia y que viaja mucho. Fue un muy bueno momento.
Manana vamos a irnos de Quito, y iremos por la campana ver los famosos volcanes del Ecuador.

Arrivée à Quito, remontage des vélos

6 mai 2017, ça y est l’avion vient de se poser, nous y sommes enfin, en Amérique !!! Reste à voir dans quel état nous allons retrouver nos chers vélos. On stresse un peu, enfin surtout moi, comme d’habitude ! Mais bonne nouvelle, les cartons des vélos arrivent intacts, tous comme nos sacs. Ouf.
Nous passons la douane, et grâce à nos amis Gema et Jean-Francois, qui étaient à Quito en début d’année, nous n’avons pas à nous demander comment faire pour rejoindre Quito : ils nous ont réservé une petite fourgonnette, et le chauffeur nous attend à la sortie de l’aéroport. Et comme on a vraiment de la chance ils nous ont aussi offert 4 nuits dans un petit hôtel très bien placé tout près du centre historique. Nous nous installons dans une chambre immense où Loïc a toute la place qu’il lui faut pour remonter les vélos.


Visite de Quito

Et cette fois ça va beaucoup  plus vite, ce qui nous laisse du temps pour visiter la ville. Quito est une ville située à 2850 mètres d’altitude. Alors bien sûr j’avais peur que l’on ne supporte pas l’altitude, mais finalement, à part un petit mal de tête pour Lolo, et le souffle un peu court dans les montées, on s’y fait très bien.
Nous découvrons donc cette ville qui s’étend sur près de 50 kilomètres sur les flancs d’un volcan, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a du relief. Se balader dans la ville c’est faire des montages russes. Et lorsque l’on prend de la hauteur c’est encore plus impressionnant à voir.
Nous avons donc profité de nos quelques jours à Quito pour découvrir le centre historique de la ville, avec tous ses bâtiments d’architecture coloniale très colorés, ses magnifiques églises, et surtout ses ruelles grouillantes de vie où tout se vend : fruits, légumes, glaces, lessive, PQ, nourriture.
Toujours à pied, à la recherche d’une nouvelle pompe à vélo, nous avons aussi parcouru les quartiers plus modernes, avec des Mac Donald, et des cafés branchés.


Environnement...

Mais nous avons quand même hâte de quitter cette ville. L’air y est irrespirable… La ville est saturée de voitures, taxis et bus, même dans les plus petites rues. Et comme Quito est pleine de côtes très raides, les moteurs rugissent et les pots d’échappement crachent des horribles fumées noires… Et gare à ceux qui osent ralentir ou tarder à démarrer… Les coups de klaxonne fusent.
Et il y règne quand même un sacré climat d’insécurité. Partout on nous conseille de laisser passeport et carte bleue à l’hôtel, de ne pas sortir le soir (il fait nuit à 18h), de ne pas s’aventurer dans des rues désertes, de toujours être très vigilant pour son sac… Vraiment pas le genre d’ambiance que l’on aime.


Tout plein de rencontres !

Mais cela ne nous a pas empêché de faire de belles rencontres. Après en avoir beaucoup entendu parlé nous avons enfin rencontré Marco, le fils de Gema, qui travaille à Quito depuis quelques années dans le tourisme (réseau solidaire Tout Équateur) : lui et son collègue Adrien nous ont donné plein de conseils pour la suite du voyage et nous ont permis de voir Rafael Correa le président d’Equateur. Tous les lundis à 11h, lors de la relève de la garde il vient saluer ses citoyens depuis le palais présidentiel. La foule est au rendez-vous ! Puis nous avons fait la connaissance de sa future épouse Mariangel autour d’un repas mexicain.
Grâce au réseau WarmShower nous avons aussi pu profiter des conseils de Fernando, habitant de Quito, propriétaire d’une boutique de vélo, et cyclo-voyageur qui connaît très bien son pays.
Et enfin aujourd’hui Lolo s’est rendu compte que les cartes postales c’est fantastique ! Ici à Quito c’est assez dur d’en trouver (et quand on voit le prix des timbres on comprend pourquoi : presque 3$ pour envoyer une carte en France), mais la postière nous indique une toute petite papeterie. Nous y rencontrons Marco, grand amateur de littérature, qui parle un peu le français. Nous lui expliquons notre voyage, et il nous invite à boire une bière dans son arrière boutique en compagnie de son ami russe Serguei, de passage à Quito. Un excellent moment passé avec eux ! Et quelques heures plus tard Marco est déjà inscrit à notre newsletter !


En route, 1er pédalage en Amérique du Sud !

Demain matin, le 11 mai, nous nous mettons en route, la sortie de Quito s’annonce terrible, et les premiers kilomètres sur la panaméricaine très passante aussi, mais dès que possible nous bifurquerons sur de petites routes, direction le volcan Cotopaxi.