du 13/07/2017 au 26/07/2017

De Caraz à Huanuco

Le 1 août 2017 par Coco

Info pays Pérou
Traversée de la Cordillera Blanca via la Ruta Pastoruri, puis pause à Huanuco.

Resumen en español

¿Hablas español?


Pasamos unos días en Caraz y nos gusta esta pequeña ciudad, muy buena para descansarse. Estuvimos acostumbrados con vendadores en el mercado y una muy buena panaderia con deliciosos pasteles…  Fui un poco trista de irme porque había un circo en la ciudad, y me gusta mucho ir al circo pero el primer espectaculo estaba una semana despues…
Pedaleamos en la valle. Pudimos ver las montañas con nieve, pero no nos gusta la carretera : demasiado de circulación y conductores de collectivos un poco locos : se van muy rapidamente y cerca de nosotros.
Probamos la especialidad de la región, en un campo recreativo, la pachamanca. Estupendo : nos gusta mucho.
Llegamos en Huaraz donde tuvimos que encontrar una tienda con cosas para hacer trek. Tengo un problema con mi colchón. Es un colchón de muy buena marca y tiene una garantia durente toda su vida. Pensabamos que habría estado posible de cambiarlo pero no… Tenemos que arreglar este problema en Cusco. Esperamos que podremos utilisarlo hasta Cusco!
Queremos cruzar la cordillera blanca sobre una pequeña sanda en el parque national Huasacaran. Pero nos fuimos demasiado tarde de Huaraz, y tuvimos que pararnos en Catac antes de la noche. Los policías nos ayudaron para acampar en seguridad. Gracias.
Tuvimos que subir mucho en el parque. De un poco mas de 3000 metros hasta mas de 4800. La carretera no tenía asfalto y fue muy dificil pero que bonito y que lindos paisajes… Pudimos ver Puya Raimondii, flores muy especiales.
Como estamos muy alto, hace frío, muy muy frío. Cuando estamos en los bolsos para dormir, vale, pero la noche y la mañana  cuando tenemos que cocinar y comer fuera era terrible. Pero pudimos acampar en lugares muy muy bonitos. Durante la noche en el cielo había muchas estrellas, pero no pudimos quedarnos a mirarlas… Hacía demasiado frío.
Visitamos el glaciar Pastorori. Llegamos temprano por la mañana antes todos los otros turistas. Fuimos solos. El lugar es muy bonito pero es muy triste de ver los efectos del calentamiento global : cada ano el glaciar està mas y mas pequeño.
Subimos hasta 5000 metros de altura.
Antes de irnos tuvimos una buena sorpresa : encontramos amigos franceses de un bueno amigo (el que nos hizo este blog). No nos conocimos pero reconocimos nuestros bicicletas con nuestras banderas. El mundo es pequeno!
Subimos hasta una abra que està a 4875, mas que el cumbre lo mas alto de Francia, el Mont Blanc. La vista estaba estupenda y comimos arriba. Nunca había cocinando tan alto.
Cuando nos fuimos de la pista fuimos un poco tristes, porque estos 3  días en el parque fueron muy buenos pero tuvimos una grande bajada con un bueno asfalto y pudimos dormir en un hotel en Huallanca.
Tuvimos un problema con mi freno. El disco fue retorcedo. No estaba posible arreglarlo en Huallanca.  Tuve que ir hasta la Union sin freno… con una larga bajada. En la Union, el mecànico probó arreglarlo pero no pudo. Despues Lolo aprobó a mejorarlo.
Acampamos en un campo cerca del colegio de Tingo, a mas o menos 2 kilometros del centro, pero durante la noche tuvimos miedo. A las 9 y media de la noche oí ruidos : cerca de nosotros había incendio en la montaña… Quisimos preguntar al vigilante nocturo del colegio si es peligroso de quedarnos aqui pero no respondío. Nos fuimos y acampamos en el grifo de Tingo. El hombre nos dijo que el fuego no estaba peligroso….
Para ir hasta Huanuco la carretera no fue buena : el asfato estaba rompido y había mucha mucho polvo como harina, y cada vez que cruzamos un carro fue terrible.
Llegamos en Huanuco muy cansados, y fuimos en la casa de Midori y su famila Fanny la madre, Arturo el padre y Lolala prima. Les hemos encontrados con WarmShower. Pasabamos 2 muy buenos días con ellos. Fanny cocina muy muy bien y pudimos probar especialidades, y hablamos mucho con ellos y aprendimos muchas casas aproposito del Perù. Nos sentíamos como con nuestra familia. Muchas muchas gracias para estos muy buenos días con vosotros.

Adios Caraz

En arrivant à Caraz, j’ai pensé que cette petite ville n’allait pas me plaire, mais après y avoir passé quelques jours on s’y sent vraiment bien, et on y a pris nos petites habitudes : vendeurs aux marché, petits restaurants et surtout une pâtisserie qui vend tout un tas de bons gâteaux et aussi des glaces… Un regret quand même pour moi en quittant la ville : un cirque vient de s’y installer, ils font plein de pub, mais la première représentation n’aura lieu que dans une semaine… Quel dommage ça m’aurait bien plu d’aller au cirque au Pérou !


Lolo est ramollo

Le matin du départ Lolo est un peu ramollo. La route n’aide pas, les paysages sont plutôt sympathiques car nous longeons la cordillère blanche en suivant la vallée et nous voyons les sommets enneigés, mais qui dit vallée dit aussi plein de villages et surtout beaucoup de circulation. Les chauffeurs conduisent comme des bourrins et plusieurs fois on se fait frôler par des collectivos trop pressés.
Comme on est samedi les campos recreativos sont ouverts. Ce sont de grands restaurants de plein air avec bien souvent des aires de jeux pour les enfants et plein de musique ; on y mange des plats traditionnels. Ils sont ouverts seulement le samedi dimanche et les jours fériés. La spécialité de la cordillère blanche est la pachamanca : de la viande marinée dans un mélange d’herbes andines et d’épices, puis enveloppée dans des feuilles de bananiers et cuite à l’étouffée à l’aide de pierres chaudes, le tout accompagné d’épis de maïs cuits à la vapeur, de pommes de terres de différentes variétés, de camoté (sorte de patate douce, en meilleur) et d’humitas. J’ai très envie d’y goûter, alors je me dis que ça sera un bon test pour savoir si Loïc est vraiment malade ou pas. Verdict : le pauvre Lolo picore… Ceux qui le connaissent savent que ce n’est pas bon signe ! Du coup on s’arrête de bonne heure à Carhuaz, où il fait une cure de sommeil + diète : sieste, grosse nuit et pas de dîner : voilà qui suffit à le requinquer !
Le lendemain midi, re-test pachamanca : il dévore, c’est bon il est guéri !


Après le moyeu de Coco, le matelas de Coco

La sortie de Carhuaz est horrible. Le dimanche c’est le jour du grand marché hebdomadaire. On est allés y faire un tour avant de partir et c’est très coloré, les femmes qui viennent des montagnes sont toutes en habits traditionnels et on y vend de tout. Par contre les accès à la ville sont complètement embouteillés et c’est le bordel. Les gens chargent leurs marchandises sur la route et bloquent tout. Le plus impressionnant c’est le transport des moutons : les 4 pattes liés ensemble par une corde et les voilà prêts pour être installés sur le toit du collectivo entre deux cartons !
On arrive quand même à se frayer un chemin et à s’en aller. On arrive vite à Huaraz où nous attend une mission matelas. Lors de notre premier voyage nous avions investis dans de très bons matelas autogonflants Thermarest, une bonne marque qui les garantit à vie. Hors le mien a un souci : une bosse s’est formée en plein milieu et s’agrandit doucement. Il sera bientôt inutilisable. Et comme Huaraz est une ville touristique, point de départ de nombreux treks, on a bon espoir d’y trouver de quoi le remplacer… et de faire marcher la garantie.
On finit par trouver une boutique d’équipement de rando qui a un matelas un peu moins bien que le mien, mais impossible de faire marcher la garantie car il a été acheté en France… ça ne vous rappelle rien ??? On repart donc sans matelas, en tentant notre chance auprès du Vieux Campeur à Paris. On croise les doigts pour qu’ils nous trouvent une solution !


Coco et Lolo aiment la police

Avec tout cela, nous partons seulement après manger de Huaraz, et nous n’avons pas le temps d’arriver jusqu’au Parc National avant la nuit (nous avons prévu de traverser la Cordillère Blanche par une petite piste peu fréquentée qui traverse le Parc National de Huascaran). Mais ce soir nous dormirons en totale sécurité : les flics de Catac nous permettent de nous installer dans un petit local sur le toit du commissariat !


A nous la piste

Le lendemain nous arrivons enfin dans le parc. Fini le bitume, à nous la piste. Comme d’habitude, c’est plein de caillasses, de grosses pierres, de gravillons glissants. Comme d’habitude ça monte, ça monte, ça monte : on va passer d’un peu plus de 3000 mètres à un col à près de 4900 mètres. Mais comme d’habitude c’est dur, on en chie, mais on adore car c’est absolument magnifique. Nous découvrons des plantes très particulières qui ne poussent qu’entre 3200 et 4800 mètres d’altitude, le Puya Raimondi. Elles vivent entre 70 et 100 ans et meurent après leur floraison : à voir le nombre de plants en fleur, nous sommes dans une maison de retraite de Puya Raimondi !


On monte à pus de 5000 mètres

La piste est déserte à part 3 ou 4 bus et quelques rares 4*4 que l’on a croisés : ils conduisent des touristes au glacier Pastoruri, un lieu touristique que nous verrons le lendemain, mais ils ne nous embêtent pas beaucoup puisqu’ils passent tous au même moment, et ensuite la route n’est plus que pour nous.
Une nuit glaciale à plus de 4000 mètres, un réveil encore plus froid car le soleil est caché par une montagne… Dur dur d’aller chercher de l’eau à la rivière et de préparer le petit déj quand il fait – 5°… Mais le paysage est tellement beau ! Et puis du coup, après deux petites heures de montée qui nous réchauffent, nous arrivons au pied du glacier avant les bus.
Le site est désert. On doit abandonner nos vélos : il y a un petit sentier accessible seulement à pied, qui fait une boucle de 2,5km, là où il n’y a même pas 30 ans c’était encore le glacier. Il fond à vue d’œil et c’est terrible de voir une preuve aussi flagrante du réchauffement climatique.
[Petit intermède de Lolo]

Difficile pour une personne plutôt apolitique comme moi de se prononcer sur la décroissance. D’autant plus que je suis mal placé pour en parler avec mes téléphone, appareil photo et caméra, ordinateur, billets d’avion pour l’Amérique du Sud etc. Par contre il y a une multitude de gestes qui sont du bon sens et qui devraient être automatiques, chez soi comme au boulot, qui permettent de réduire considérablement les gaspillages d’énergie. C’est tellement évident, et pourtant ça continue ! Allez, peine perdue ?

[Fin de l’intermède de Lolo]
Le lieu est pourtant magnifique, entouré de sommets enneigés, mais il se mérite et il faut encore monter. On fait un détour par un petit sentier plus au moins fermé et on dépasse les 5000 mètres d’altitude. Je n’irais pas jusqu’à toucher le glacier mais Lolo si ! Un peu plus loin par le chemin balisé on arrive au pied de l’autre partie du glacier et là je pourrai quand même toucher la glace. Dur de s’imaginer que cette eau gelée qui fond de plus en plus vite est là depuis des milliers d’années…
Sur le chemin nous croisons pleins de petits cours d’eau, certains normaux, mais d’autres aux couleurs hallucinantes : l’eau est tellement chargée en minéraux qu’ils se déposent sur le lit des ruisseaux, c’est vraiment étrange et ça ne donne pas envie de boire l’eau !


Que le monde est petit !

Au moment de redescendre on se rend compte de la chance que l’on a eu d’avoir le site pour nous tout seuls. Les bus sont arrivés, tous ensemble comme hier et on croise des dizaines de personnes qui montent voir le glacier. Parmi eux un couple nous interpelle : vous êtes français ? Bretons ? Les vélos en bas sont à vous ? Vous n’êtes pas les amis d’Erwan?
Ce sont Gad et Cécile, qui viennent de Saint-Jean de Maurienne, et sont des amis d’Erwan, celui grâce à qui nous avons un si beau site internet. Ils sont en vacances au Pérou dans la Cordillère Blanche, Erwan leur avait parlé de nous et ils ont vu nos vélos et nos drapeaux breton en bas ! Quelle était la probabilité pour que nos chemins se croisent et que l’on sache que l’on avait un ami commun ???
En tout cas même si on ne se connaissait pas, on était vraiment très contents de se rencontrer et de discuter ! A une prochaine en Maurienne !


Nuits glaciales

Nous remontons sur nos vélos et récupérons notre piste. Le souffle est court, nous avons plusieurs petits cols à passer. Pour notre deuxième nuit nous dormons entre deux cols à 4679 mètres d’altitude. On carbure au maté de coca pour ne pas trop sentir les effets de l’altitude, mais contre le froid… Dès que le soleil ne brille plus c’est terrible. On doit se réfugier dans la tente pour manger et nos magnifiques T-Shirt offerts par nos collègues préférés qui nous servent de pyjamas ne suffisent plus : en dessous on doit mettre des vêtements techniques bien chauds. Le ciel est magnifique, plein d’étoiles, sans lune, sans pollution lumineuse : un vrai spectacle que l’on ne peut malheureusement pas rester admirer longtemps tellement il fait froid !
Ce matin, pas de montagne proche pour cacher le soleil, alors bien couverts on apprécie notre petit déj devant une vue à couper le souffle.


Pique-nique au dessus du Mont Blanc

Pour notre dernier jour dans le parc nous allons passer deux petits cols dont le plus haut culmine à 4875 mètres. Tout en haut on trouve un endroit un peu abrité du vent et on pique nique plus haut que le Mont Blanc ! Pas sur que j’ai encore l’occasion de cuisiner des pâtes aux oignons à cette altitude ! Tout la matinée nous nous sommes émerveillés devant ces paysages. Nous sommes sur nos vélos, mais on se croirait en randonnée à pied tellement les paysages sont grandioses et tellement on est seuls au monde. Il n’y a personne sur cette piste !


Tristes de redescendre

Mais les bonnes choses ont une fin, et la descente commence. De l’autre coté du col les paysages sont plus minéraux, et puis on retrouve le bitume. On est tristes que cette piste s’arrête, ce fut dur mais 3 jours c’était trop court, on aurait bien continué.
On se console en descendant plus de 1000 mètres de dénivelé sur un super asphalte et on retrouve le confort de la civilisation à Huallanca, village vivant mais paisible, où l’on s’offre une nuit tempérée dans un hôtel.


Lolo mécano vélo

Mais en quittant l’hôtel je tords le disque de mon frein avant en descendant un trottoir géant… Pas moyen de faire réparer ici, il faut aller jusqu’à la prochaine ville sans frein avant… en descente. La pente est douce et la route belle, longeant une rivière dans un canyon, ça le fait. On arrive à la Union où on nous indique le garage de « Gringo ». Il tente bien de redresser le disque à coup de marteau mais ça ne fonctionne pas, ça frotte toujours. On sort de la ville, et on pique-nique dans un petit coin tranquille où Lolo peut bricoler et arrive à arranger un peu les choses. Je peux à nouveau freiner… mais maintenant ça monte !


Mais où sont les bomberos ?

En fin de journée le bitume s’arrête, et on entame une descente sur une piste poussiéreuse où tout à coup il y a plein de voitures. On roule dans un nuage de farine et par moment il y a tellement de poussière que l’on se demande si les voitures nous voient. Heureusement on arrive bientôt à Tingo, petit village où l’on espère pouvoir camper. Sauf que Tingo est sinistre, un hameau délabré, plein de poussière… où camper ??? Une dame nous dit qu’elle a une hospedaje (petit hôtel). Pour le prix d’une chambre elle nous propose un lit sale dans un garage. On refuse et on trouve un petit champ, près du collège à la sortie du village, où poser notre tente. Mais vers 21h30, j’entends de drôles de bruits… Je sors voir, et je me rends compte qu’un peu plus loin il y a un grand incendie dans la montagne. La végétation n’est pas très fournie mais quand même, je n’aimerais pas finir rôtie. On essaie de savoir si c’est « normal », mais le gardien du collège ne répond pas, personne ne répond dans la petite maison à coté de laquelle on campe et moi j’ai trop peur : on remballe tout, on fait 2 kilomètres à vélos et on se réfugie à la station service du village où au moins on sera alertés si le feux se propage. Les chiens de la station sont pas ravis de nous voir nous installer dans la nuit et pendant 2 heures, ils resterons a aboyer et à grogner à 1 mètres de la tente… Dans ses cas là les « murs » de notre « maison » nous paraissent bien fragiles…
Le lendemain nous apprendrons que ces feux sont des brûlis volontaires. Drôle d’idée de faire ça la nuit !


Le nez dans la farine

On repart sur notre piste poussiéreuse, et la nuit suivante est plus calme, tranquillement installés dans un petit hameau en altitude (donc ça caille). Notre dernière journée avant d’arriver à Huanuco (ville de75 000 habitants où l’on va se poser 2 jours chez une hôte WarmShower) est horrible. Une matinée de montée pour passer un col à 4000 mètres, qui se passe plutôt bien, et puis 2000 mètres de descente sur cette piste pourrie où il y a de plus en plus de circulation. Les collectivos et 4*4 bourinnent, nous frôlent et soulèvent des nuages de poussière. Sur cette piste étroite et caillouteuse nous n’avançons pas, toujours obligés de freiner (en essayant de ménager au maximum mon frein qui fait des siennes : 1h30 de bricolage en plein cagnard ce midi pour Lolo). On peste, on en a ras le bol, mais on se dit aussi que l’on est seulement de passage. De nombreux hameaux sont dispatchés tout le long de la route, et eux doivent supporter cela toute la saison sèche !
Nous apprendrons plus tard qu’il y a seulement 5 ans cette route était bitumée, mais elle a été faite n’importe comment pour des raisons politico économiques : voilà le résultat !

Comme à la maison, merci à Midori et sa famille !

Lorsque l’on arrive à Huanuco chez Midori, on en a plein les pattes et plein les narines ! Mais pas pour longtemps, car nous avons le droit à un super accueil ! Midori vit chez ses parents Fanny et Arturo, avec sa cousine Lola. Nous sommes bien installés dans une petite chambre, une salle de bain et un immense balcon très pratique pour bricoler les vélos et faire sécher la lessive. Comme ils tiennent une boulangerie située sous l’appartement, nous profitons des bonnes odeurs… et du pain frais à chaque repas. Fanny est une cuisinière hors pair et 3 fois par jour nous sommes invités à partager la table familiale. Nous discutons beaucoup avec toute la famille et apprenons plein plein de choses sur le pays. Arturo se fait un plaisir de nous raconter plein d’anecdotes sur les moments qu’il a passé à parcourir la selva, la partie amazonienne du Pérou… Il nous donnerait presque envie d’aller y faire un tour.
Chez eux on se sent vraiment à l’aise comme à la maison. Ces quelques jours passés avec eux nous on fait beaucoup de bien !
En plus des lessives à la main, bricolages, et lavages divers, on en a profité pour découvrir Huanuco : grouillante, bruyante, et pleine de moto-taxis carénés qui lui donne un petit air de jeu vidéo !